Type de lieu
Environnement
Bord de mer
Présentation générale
L’estacade est définitivement un spot immanquable quels que soit la météo et le moment de la journée.
Les couchers de soleil y sont d’un romantisme fou.
Lors de coups de vent, l’océan vient se fracasser sur le bois, arrosant les badauds téméraires.
Marée haute ou marée basse, le spectacle est toujours unique.
De nuit, parce qu’éclairée toute l’année, elle est une promenade nocturne au contact de l’océan. Les pêcheurs nocturnes ressemblent alors à des lucioles.
Etat du lieu
Excellent état
Historique du lieu
Une estacade… c’est le rêve du début des années 1960 de Pierre Farcy, alors maire de Saint Jean de Monts et conseiller général de la Vendée. Il pense trouver là le moyen de relier l’Ile d’Yeu.
400m de long et 10 tonnes d’azobé, dit « bois de fer », pour cette « œuvre d’art » ! Inaugurée en 1967, elle dépasse la Tour Eiffel et de loin toutes les autres estacades de la côte atlantique.
Cette estacade ne constituera pas un port, des contraintes techniques et de sécurité l’en empêchant. Simplement le bonheur de milliers de voyageurs qui aiment s’y promener, admirer le spectacle de la mer, prendre du recul sur le littoral et pêcher à la ligne.
Seul Ernest Pajot, patron de l’Amazone y risque l’accostage et emmène les voyageurs en mer.
Dominer l’océan est une quête ambitieuse, si tant est qu’elle soit possible ! Les tempêtes de 1987 et l’hiver 1990 ont amputé l’estacade de dizaines de mètres.
Fière de ce « trait d’union » entre l’île d’Yeu et la côte, la ville de Saint Jean de Monts décide de reconstruire une nouvelle estacade, identique à la première !
L’âme de l’ancienne estacade erre sur ce nouveau monument inauguré en 2013. La nouvelle plateforme est construite avec des morceaux des anciens madriers.
Dans la ville, et notamment sur certains ronds-points, sont reconstituées des petites estacades faites du bois recyclé des années 1960.
400m de long et 10 tonnes d’azobé, dit « bois de fer », pour cette « œuvre d’art » ! Inaugurée en 1967, elle dépasse la Tour Eiffel et de loin toutes les autres estacades de la côte atlantique.
Cette estacade ne constituera pas un port, des contraintes techniques et de sécurité l’en empêchant. Simplement le bonheur de milliers de voyageurs qui aiment s’y promener, admirer le spectacle de la mer, prendre du recul sur le littoral et pêcher à la ligne.
Seul Ernest Pajot, patron de l’Amazone y risque l’accostage et emmène les voyageurs en mer.
Dominer l’océan est une quête ambitieuse, si tant est qu’elle soit possible ! Les tempêtes de 1987 et l’hiver 1990 ont amputé l’estacade de dizaines de mètres.
Fière de ce « trait d’union » entre l’île d’Yeu et la côte, la ville de Saint Jean de Monts décide de reconstruire une nouvelle estacade, identique à la première !
L’âme de l’ancienne estacade erre sur ce nouveau monument inauguré en 2013. La nouvelle plateforme est construite avec des morceaux des anciens madriers.
Dans la ville, et notamment sur certains ronds-points, sont reconstituées des petites estacades faites du bois recyclé des années 1960.
Période de construction
1952-1963,
2011-2020