Type de lieu
Catégories
Environnement
Bord de mer
Présentation générale
Etat du lieu
Bon état général,
En cours de restauration - En travaux
Historique du lieu
Erigée au XIe siècle selon l'histoire, par le comte Baudouin, cette chapelle fut reconstruite au XIIIe siècle.
Elle ne prend le nom de Notre-Dame de Salut qu'au début du XVIIIe siècle.
Jusqu'à la Révolution, elle fait partie du prieuré de Bourg-Baudouin, dépendant de l'Abbaye de la Sainte-Trinité de Fécamp.
C'est là que sont accueillis les pèlerins du Nord de la France venus honorer le Précieux Sang.
C'est grâce à sa « situation remarquable pour les navigateurs » que Notre-Dame de Salut, par le décret de l'Assemblée nationale du 6 août 1792 va échapper à la destruction révolutionnaire ;
elle retrouve ensuite sa vocation religieuse au XIXe siècle quand les nombreux marins pêcheurs de Fécamp vont faire de cette chapelle le but de leur pèlerinage.
Ils s'y rendent avant et après leurs voyages à Terre-Neuve en passant par le chemin nommé « la sente aux matelots ».
Un pèlerinage annuel a lieu également en cette chapelle le jour de l'Annonciation en Mars, c'est la Marchèque, fête très populaire dans le Pays de Caux.
Pendant la seconde guerre mondiale, les bombardements de 1942 ont provoqué l'effondrement du clocher, mais les Fécampois l'ont fait réédifier et surmonter par une statue dorée de la Vierge à l'Enfant qui avait été offerte en 1902 par un armateur de la ville.
Elle ne prend le nom de Notre-Dame de Salut qu'au début du XVIIIe siècle.
Jusqu'à la Révolution, elle fait partie du prieuré de Bourg-Baudouin, dépendant de l'Abbaye de la Sainte-Trinité de Fécamp.
C'est là que sont accueillis les pèlerins du Nord de la France venus honorer le Précieux Sang.
C'est grâce à sa « situation remarquable pour les navigateurs » que Notre-Dame de Salut, par le décret de l'Assemblée nationale du 6 août 1792 va échapper à la destruction révolutionnaire ;
elle retrouve ensuite sa vocation religieuse au XIXe siècle quand les nombreux marins pêcheurs de Fécamp vont faire de cette chapelle le but de leur pèlerinage.
Ils s'y rendent avant et après leurs voyages à Terre-Neuve en passant par le chemin nommé « la sente aux matelots ».
Un pèlerinage annuel a lieu également en cette chapelle le jour de l'Annonciation en Mars, c'est la Marchèque, fête très populaire dans le Pays de Caux.
Pendant la seconde guerre mondiale, les bombardements de 1942 ont provoqué l'effondrement du clocher, mais les Fécampois l'ont fait réédifier et surmonter par une statue dorée de la Vierge à l'Enfant qui avait été offerte en 1902 par un armateur de la ville.
Période de construction
XIII° Siècle,
XVIII° Siècle
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